Ah j'vous jure...

On n'est vraiment pas aidé dans cette maison !

 

Quelle mauvaise volonté !

Et tout ça sous prétexte que les poils de Môssieur ne se repassent pas !

Et les croquettes, je les mange pas ! et pourtant je les sers tous les jours ! NON MAIS !!

Et l'oscar du meilleur film...

Melo a voté et sans aucune hésitation, il a décerné l'oscar du meilleur film à ce court-métrage.

Il peut le regarder des heures sans se lasser.

Il faut bien avouer que le scénario est palpitant, les acteurs et les actrices parfaits dans leur rôle (ils ont fait l'Actor's Studio, c'est évident), la réalisation impeccable et tout ceci malgré une toute petite production. 

C'est là toute la magie des films de copains.

Allez, rendez-vous à Cannes !

 

 

Mais comment ça va finir...

L'histoire commence ainsi :

Il était une fois, un gros chat noir qui s'appelait Melo.

Ce gros chat noir (Eh ! Oh! ça suffit, d'abord je ne suis pas gros, je suis "costaud")... pardon, je disais donc, ce chat noir et "costaud" aimait profiter du fait que les patrons aient quitté le lit douillet pour venir s'y vautrer y faire un petit roupillon réparateur.

Melo étant du genre à faire ce qu'il dit, en ce matin ensoleillé, il grimpa sur le-dit lit et s'y endormit.

Pendant ce temps, Ficelle déambulait dans la maison à la recherche d'un endroit chaud, douillet, confortable afin de s'y rouler en boule.

Après avoir tenté :

- d'entrer dans une armoire (INTERDIT), 

- de se faufiler sous le plaid du petit canapé (PAS LE DROIT)

 

- de se poser sur un radiateur (chaud mais manque de moëlleux)

 

il se dit que la chambre des patrons pouvait être une bonne option.

Sitôt dit, sitôt fait et voilà notre Ficelle qui se roule au boule sur le lit, tout à coté de Melo, lui-même roulé en boule et plongé dans un profond sommeil.

 

Mais enfin Ficelle, à quoi penses-tu ?

Comment Melo va-t'il prendre la chose à son réveil ?

Personnellement je pense qu'il ne va pas apprécier ce manque de considération et que tu vas très vite t'en mordre les griffes...

Comme je refuse d'arbitrer ce duel, je préfère vous laisser entre vous.

 

ATTENTION AU REVEIL !