29/08/2012
Et hop, une gourmandise...
Alors, d'abord, il faut aller chercher la caisse bleue au sous-sol (si on n'a pas de caisse bleue et/ou pas de sous-sol...et bien je ne sais pas )
Ensuite, il faut apporter le grand escabeau.
On commence par ramasser celles qui sont déjà tombées et qui ne sont pas à moitié mangées par les oiseaux, les fourmis, les guêpes...
Après, on cueuille celles qui sont accessibles, sur les branches les plus basses.
Astuce : quand une branche ploie sous le poids des fruits, il faut commencer par cueillir ceux qui sont en haut et finir pas ceux qui sont en bas. Si on fait l'inverse, au fur et à mesure la branche s'allège, remonte et on ne peut plus attraper ceux du haut. C'est clair ?
Bon une fois que c'est fait, on met l'escabeau sous le mirabellier - ah oui ! j'avais oublié de vous dire qu'on allait cueillir les mirabelles, j'chuis un peu tête en l'air - , on monte sur l'escabeau et on cueille celles qui sont plus haut.
Après quand on a tout ramassé mais qu'il reste encore celles qui sont tout en haut de l'arbre et bien garçon le secoue et moi je cours dans tous les sens pour ramasser les petits fruits dorés - tiens pourqoui c'est toujours moi qui cours partout ?
Cette année la récolte est très moyenne (2.4 kg) mais quand on pense qu'on n'a pa eu une cerise et que les framboise se dessèchent sur les branches, on peut être satisfait.
Ensuite, il faut faire vite pour transformer notre récolte.
Et si on commençait par un clafoutis !
Allez hop!
Des oeufs, du beurre, du sucre, de la farine, du lait, on touille, on touille.
Ploc, ploc, ploc, les mirabelles au fond du plat.
Splach, le mélange par-dessus et au four.
Le plus difficile dans le clafoutis, c'est d'attendre qu'il soit cuit et refroidi...
BON APPETIT, BIEN SUR !
01:59 Publié dans la vie c'est joli, La vie de ma cuisine, la vie de ma vie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : clafoutis, mirabelles
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