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15/08/2011

Les randonneurs...

Avant que mon compagnon de crapahute ne se soit fait dévoré par un requin (), nous avons fait une très chouette ballade aux vaux de Cernay - Cernay la Ville, bien sûr, dans les Yvelines.

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Nous sommes partis de la place du village, direction le bois de la Veveine - tiens c'est drôle mais c'est la première fois que j'écris ce nom, d'ailleurs, je ne sais pas comment ça s'écrit, je fais au plus simple ;o) - donc nous sommes descendus à travers bois jusqu'aux vaux. Nous avons d'abord fait une halte à la source (souvenir d'enfance) puis nous avons rejoint l'étang. 

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 La source

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L'étang des vaux de Cernay

De là nous sommes montés aux Maréchaux : carrière de grès qui fournissait les pavés de la ville de Paris. Il y a aussi une carrière de meulière. Nous avons fait une petite halte près de l'ancienne citerne. Cet endroit assez isolé est néanmoins habité. Nous n'avons pas osé profiter de ce salon inattendu pour nous prélasser.

 

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La citerne

 

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Descente vers la carrière

 

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Les roches de grès

 

 

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L'ancienne carrière de meulière

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Un salon très ... roots !

Nous avons continué notre chemin pour déboucher sur un promontoire d'où nous avons pu admirer l'Abbaye des Vaux de Cernay. Enfants, nous avons connu cette abbaye plutôt ruinée. Aujourd'hui c'est un hôtel-restaurant superbement restauré (normal pour un resto me direz-vous...). Nous sommes descendus et après avoir longé le mur d'enceinte, nous sommes entrés dans le parc. Il semblerait que la visite soit payante ! Nous n'avons rencontré personne et donc poursuivi notre découverte, l'esprit tranquille et le porte-monnaie planqué. Nous avons admiré le parc,  l'abbaye, les oies, les arbres et même un ragondin.

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D'ici, on domine l'abbaye, beaucoup plus visible quand les arbres n'on plus de feuilles.

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Vue sur les ruines de l'abbaye

 

 

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Vue sur l'abbaye restaurée

 

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La fontaine St Thibault dont l'eau miraculeuse rendit fertile

la reine Marguerite, épouse de Saint Louis

Après cette belle visite, nous avons pris le chemin du retour en longeant l'étang. Nous y avons croisé un pêcheur super équipé qui avait un engin étonnant qui permettait d'avoir 3 cannes à pêches en même  temps dans l'eau ! J'espère qu'il a pris autre chose qu'une grenouille.

 

 

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Arrivés au bout de l'étang, direction les cascades. C'est un chaos de rochers au milieu duquel coule un ruisseau (non pas une rivière et d'ailleurs il n'y avait pas non plus Brad Pitt). L'endroit est très agréable et frais. Là encore, beaucoup de souvenirs d'enfance, nous y venions en famille, avec les grand-mères, les cousins, puis plus tard, les copines... ahhhh ! c'était hier ou peut-être avant-hier, ma mémoire me fait défaut.

Le pont qui permet de traverser est fermé, nous avons donc dû jouer un peu les équilibristes.

  

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Et c'est en arrivant sur l'autre rive que s'est joué le drame ! Snifff ! C'est dommage, une si belle ballade qui se finit ainsi ...

Meuh non ! c'était pour rire, vous avez eu peur hein ?

Nous avons donc poursuivi notre route en remontant à travers bois vers le haut du village.

Voilà, c'est fini, à non j'allais oublier une chose importante que nous avons fait. Pas la plus importante... mais quand même ! 

 

Nous avons pique-niqué !

 

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Voilà comment occuper une belle journée d'été 

 

13/08/2011

La difficulté d'être une artiste...

Cette semaine j'ai bricolé !

J'ai décidé de redonner un coup de frais à l'escalier du sous-sol.

L'un des problèmes de cet escalier, c'est qu'il nous remonte du sous-sol et très fréquemment, il nous ramène du jardin.

Qui dit jardin, dit jardinage, donc terre, donc mains pas propres.

Et allez donc savoir pourquoi, la porte de l'escalier était passablement sale. Y aurait-il un lien de cause à effet ? Mystère !

J'ai donc tout repeint en blanc - même pas peur - et l'idée m'est venue de coller autour de la poignée un morceau de papier (noir cette fois) pour éviter que mon travail soit réduit à néant dans les semaines à venir.

Bien, mais un rectangle de papier, c'est plutôt triste. Alors j'ai décidé, d'un commun accord avec moi-même, de lui donner une jolie forme originale, toute en rondeur, en douceur. Et pour cela, j'ai pris comme gabarit un couvercle en silicone.

Sitôt dit, sitôt fait !

Ouah ! c'est super chouette, vite allons faire admirer notre oeuvre !

Question : "Alors, comment tu trouves ? "

Réponse : " Ah oui c'est bien... on dirait une paire de seins !"

 

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Je suis une artiste incomprise !

12/08/2011

Drame aux Vaux de Cernay...

Dernièrement, j'ai fait une super ballade aux Vaux de Cernay.

Nous avons marché, marché, marché, monté, monté, monté, descendu, descendu, descendu.

Et tout au long de notre promenade, nous avons pu admirer des animaux indattendus :

 

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- un animal préhistorique : un dinosaure? en tout cas, il rampait dans les fougères et nous sommes passés au large pour ne pas le déranger

 

 

 

 

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- une vache : si, si, regardez bien, elle a même des cornes! 

A moins que ce soit un taureau ! Nous l'avons échappé belle.

 

 

 

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- et beaucoup plus étonnant, surtout sous nos latitudes (quoique le dinosaure c'est déjà pas mal), un requin émargeant du sol, en quête d'une proie sans aucun doute.

 

 

 

 

Et c'est là que survint le drame. Alors, qu'après avoir photographié l'animal, je repartais d'un bon pas vers de nouvelles avantures, un hurlement déchirant me glaça le sang. N'écoutant que mon courage, je rebroussai chemin et assistai impuissante à l'horrible spectacle.

Mon compagnon voulant faire le fanfaron, avait entrepris de gratouiller le menton de l'épouvantable bête. Celle-ci (manquant singulièrement d'humour) le laissa sournoisement (la bête, pas mon compagnon de crapahute) s'approcher et avec une fulgurance inouie, le happant entre ses machoires !

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Heureusement que j'ai eu la présence d'esprit de dégainer mon appareil sinon vous ne m'auriez pas cru !