07/09/2012
Mille et une nuits...
Il était une fois au pays des 1001 nuits, un magasin extraordinaire où l'on pouvait trouver tout le mobilier indispensable pour apporter à son intérieur cette touche chic indispensable.
D'ailleurs, ma sister ne s'y est pas trompée.
Plutôt que de choisir de redécorer son intérieur selon les codes actuels de la grande prêtresse de la déco de M6, elle a jeté son dévolu sur les splendides salons du super magasin-hard-discount-on-vous-vend-tout-ce-que-vous-n'imaginez-même-pas-pouvoir-acheter qui s'est ouvert à 3 kms de chez moi.
Imaginez, un entrepôt (il y a quelques mois encore occuper par un magasin de meubles et éléctroménager), sans aucune déco, où on trouve tout (comme à la Samaritaine), de la raclette à dégivrer les pare-brises au vase ultra kitsch, du lot d'assiettes en pyrex à la boite à outils...
Et là, au milieu de tout ce bric à brac, se trouvait le graal !
Non non, je n'en fais pas trop, d'ailleurs quelques photos sont là pour vous le prouver.
Je sais que je vais déclencher beaucoup de crises de jalousie, eh eh !!! tout le monde n'a pas un "Master Mag" près de chez soi (et si j'en crois cet article, il serait tout seul en France).
Bon assez de suspens, voici la preuve en images ;o)
La sobriété du noir...
La grande classe du blanc...
Et surtout beaucoup d'or pour ponctuer les courbes...
N'a-t'elle pas l'air d'une véritable princesse orienale, ma sister ?
Et si vous préférez, il y a aussi en stock le fauteuil-zèbre
Si avec tout ça, on ne se concocte pas un nid douillet pour cet hiver, c'est à n'y rien comprendre...
19:51 Publié dans la vie d'une modeuse, la vie de ma vie | Lien permanent | Commentaires (0)
29/08/2012
Et hop, une gourmandise...
Alors, d'abord, il faut aller chercher la caisse bleue au sous-sol (si on n'a pas de caisse bleue et/ou pas de sous-sol...et bien je ne sais pas )
Ensuite, il faut apporter le grand escabeau.
On commence par ramasser celles qui sont déjà tombées et qui ne sont pas à moitié mangées par les oiseaux, les fourmis, les guêpes...
Après, on cueuille celles qui sont accessibles, sur les branches les plus basses.
Astuce : quand une branche ploie sous le poids des fruits, il faut commencer par cueillir ceux qui sont en haut et finir pas ceux qui sont en bas. Si on fait l'inverse, au fur et à mesure la branche s'allège, remonte et on ne peut plus attraper ceux du haut. C'est clair ?
Bon une fois que c'est fait, on met l'escabeau sous le mirabellier - ah oui ! j'avais oublié de vous dire qu'on allait cueillir les mirabelles, j'chuis un peu tête en l'air - , on monte sur l'escabeau et on cueille celles qui sont plus haut.
Après quand on a tout ramassé mais qu'il reste encore celles qui sont tout en haut de l'arbre et bien garçon le secoue et moi je cours dans tous les sens pour ramasser les petits fruits dorés - tiens pourqoui c'est toujours moi qui cours partout ?
Cette année la récolte est très moyenne (2.4 kg) mais quand on pense qu'on n'a pa eu une cerise et que les framboise se dessèchent sur les branches, on peut être satisfait.
Ensuite, il faut faire vite pour transformer notre récolte.
Et si on commençait par un clafoutis !
Allez hop!
Des oeufs, du beurre, du sucre, de la farine, du lait, on touille, on touille.
Ploc, ploc, ploc, les mirabelles au fond du plat.
Splach, le mélange par-dessus et au four.
Le plus difficile dans le clafoutis, c'est d'attendre qu'il soit cuit et refroidi...
BON APPETIT, BIEN SUR !
01:59 Publié dans la vie c'est joli, La vie de ma cuisine, la vie de ma vie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : clafoutis, mirabelles
30/07/2012
Où étaient-ils...
Sous le soleil de la Bretagne...bien sûr !
18:34 Publié dans la vie de ma vie | Lien permanent | Commentaires (0)