15/03/2013
J'arrive après la bataille...
Il paraitrait que cette gourmandise est en vogue sur les blogs depuis plusieurs mois déjà (dixit ma sister).
Ben moi, je viens tout juste de la découvrir.
Pour faire simple et ne pas vous faire languir, il s'agit du fameux (dans tous les sens du terme)...
TADAM.........................
KRINGEL ESTONIEN
Je vous rappelle, pour mémoire, que l'Estonie est un pays de 1.282.963 habitants (je les ai comptés hier) de l'Europe du nord, faisant partie, avec la Lituanie et la Lettonie, des Pays Baltes.
Tallin en est la capitale et le président s'intitule Toomas Hendrick Ilves.
Je referme la parenthèse "culture" (merci Wiki...)
J'ai fait deux essais.
Pourquoi deux ?
Et bien premièrement, parce que c'est bon et quand j'aime un gâteau et bien je suis tout à fait capable de le faire et le refaire et deuxièment parce que même s'il était bon, je n'étais pas complètement satisfaite du premier.
Il faut vous dire que j'ai oublié d'y mettre du sel.
Je n'ai pas l'habitude de saler mes gâteux puisque j'utilise du beurre demi-sel, mais là, allez savoir pourquoi, j'ai utilisé du beurre doux...erreur ;o(
Pour les proportions, les ingrédients et tout l'toutim, allez voir par là ou là ou demandez à Mr Gogol, il en connait des tonnes.
J'ai utilisé le joli robot que ma sister m'a donné et avec lequel je n'avais fait qu'une pâte à pizza et des carottes râpées.
Allez zou ! tout le monde dans le bol pour un tour de manège :
Au chaud dans un saladier et une heure plus tard, Wahou ! C'est gonflé !...
Et pouf ! on dégage dégaze.
C'est maintenant que tout l'art du Kringel se révèle...
Regardez bien, il va falloir :
1 - étaler en rectangle. Je pense important de rappeler ici que le rectangle est un quadrilatère dont les 4 angles sont des angles droits.
Je dois admettre que dans le cas de mon kringel, les angles droits sont plutôt des angles arrondis.
Je vous rassure, ceci ne peut en aucun cas mettre en péril le résultat de tout ce travail.
2 - garnir généreusement de beurre fondu, sucre et ici pépites de chocolat et pralin.
3 - rouler l'ensemble comme un gros boudin une jolie bûche.
4 - fendre le gros boudin la jolie bûche d'un bout à l'autre. Alors là, il se peut que les différentes strates et tout ce que vous y avez mis aient l'envie soudaine de se barrer de tous les côtés. Il faut rester ferme, savoir dire non et remettre tout ce petit monde en bon ordre de marche.
5 - tresser les deux bouts et en faire une couronne. Bon alors là, j'aurais dû faire des photos mais il m'aurait fallu 4 mains et manque de chance, je n'en n'avais que 2 en stock.
6 - on laisse gonfler encore un petite heure, on repasse un petit coup de beurre fondu et de sucre (si on veut le sucre, mais moi je veux bien) et hop, au four à 180 ° pour 20 25 mn.
Et voilà le résultat.
BON APPETIT, BIEN SUR !
Ma réflexion d'après la bataille :
En regardant les différents blogs, il est dit partout qu'il faut pétrir jusqu'à ce que la pête soit souple et élastique, en gros entre 5 et 10 mn.
Moi, rapide comme l'éclair, dès que l'ensemble a fait une bouboule dans le robot (45 secondes) ... wesh ! va gonfler ailleurs ta race !
Bon, la prochaine fois - parce qu'il y aura une prochaine fois - je travaillerai un peu plus cette pâte pour voir si ça change quelquechose. Paske entre nous, si ça change rien, pourquoi se faire...
01:36 Publié dans La vie de ma cuisine | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : kringel estonien
14/03/2013
Tombe la neige...
Maintenant que les infos ont fini de parler de la neige pour nous causer de François, et bien moi, toujours avec mon métro de retard, je vous en parle ... de la neige.
Bonne journée ensoleillée.
La bande son : Rose "Saisons" sur son album "Rose"
12:44 Publié dans la vie c'est joli, la vie de ma vie | Lien permanent | Commentaires (0)
12/03/2013
Cocotiers, plages dorées et paréos...
Samedi dernier, nous sommes partis dés l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, pour aller chercher trois paréos.
Ah ben, nous on est comme ça.
Un petit rayon de soleil, le printemps qui approche et hop ! on va faire les lézards sur les plages.
Donc direction le Loiret, bien connu pour ses plages de sable fin, ses cocotiers à l'ombre desquels on déguste des pinacolada et des mojitos.
Notre point de chute était la paillotte de la charmante Francia Thauvin où nous avons été accueilli par Flora (je crois que c'est sa fille, mais pô sûre).
En ce samedi matin, elle était très occupée, beaucoup de monde venu chercher là l'objet de toutes les convoitises.
Heureusement, le garçon étant très prévoyant, il avait réservé depuis plusieurs mois nos 3 paréos.
Nous les avons récupérés et avons pu repartir, non sans faire un détour d'une vingtaine de kilomètres pour rafler le dernier baba au rhum de la patisserie de la mort qui tue de Pithiviers.
Je sens que vous êtes impatient(e)s de voir ces magnifiques paréos.
Et bien j'espère que dans .... disons 3 mois, ils ressembleront à ça :
Mais pour l'instant, c'est plutôt ça ;o)
Juste pour l'annecdote, nous avons vu pour la première fois ce très beau rosier à l'abbaye de Valloires (80) à l'été 2009.
Malheureusement, malgré de nombreuses recherches, il semblait que ce rosier n'était plus produit ou bien en très petite quantité.
cette année, la pépinière F. Thauvin en a produit quelques spécimens et nous a proposé de nous en réserver.
Youloulou ! Elle est pas belle la vie !
Ah pis tiens, pour finir, un petit album des jolies vieilleries de la pépinière.
Je n'ai pas osé photographié le bureau, mais il vaut vraiment le détour.
Cliquez sur cette toute pitite image
01:37 Publié dans la vie c'est joli, la vie de ma vie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pépinière francia thauvin, rosier paréo