07/03/2012
Phalaenopsis, part four...
Alors, depuis un mois que c'est-il passé ?
Pas grand chose, si ce n'est que ma petite plante continue sa croissance.
Enfin, pas la plante elle-même, mais les boutons.
Par contre, sur les 4 boutons floraux initiaux, l'un d'entre eux a pratiquement disparu.
Je pense que les deux goulus du bout lui ont piqué toute la nourriture.
Snif, une minute de recueillement s'il vous plait.
Maintenant, la preuve par l'image :
- fin janvier, j'avais 4 boutons. Ok, le premier avait déjà un petit air "pas trop en forme".
- aujourd'hui, ils ont bien grandi,
-et de près mon petiot si mal en point (re-snif)
Pour un peu, les deux gros là et bien il me ferait un peu peur.
Ca ressemble à des aliens, brrrrrrrr..........
Allez, assez d'enfantillage, et voici la belle :
Rendez-vous le mois prochain...ou bien avant si la naissance d'une fleur se déclenche ;o)
01:54 Publié dans la vie c'est joli | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : phalaenopsis
06/03/2012
Vous voulez la solution...
Spécialement pour Stef qui depuis des jours et des jours s'arrache les yeux sur cette photo-ci pour trouver les coccinelles, je donne la solution.
Sur la photo originale, il y a bien 6 petites bêtes, mais le recadrage automatique de M. Hautetfort en a supprimé une.
Alors, je tente 2 nouvelles photos, la première telle qu'elle est déjà sur le blog - avec la solutions bien sûr et une deuxième recadrée sur laquelle, normalement, on voit les 6 petites coquines.
Fin de la course aux coccinelles ;o)
01:32 Publié dans la vie c'est joli | Lien permanent | Commentaires (0)
04/03/2012
Oh mon dieu, mais c'est la guerre...
C'est la guerre ou c'est la crise ?
Je ne sais pas, en tout cas une chose est certaine, nous vivons une période bien difficile.
Et pour en avoir la confirmation, nul besoin de lire les journaux, écouter les infos à la radio ou à la télévision.
Non, non, non, il suffit tout simplement d'aller regarder ce qui se passe sur les étals des marchands de légumes.
Fini les cerises à 120 € le kilo en direct d'Afrique du Sud, fini les pois mange-tout qui arrivent par avion du Guatemala et les haricots verts de Chine.
Aujourd'hui, nos maraîchers nous proposent des poireaux, des carottes, des navets et des....
des RUTABAGAS !
Quand je pense que nos parents en avaient une sainte horreur.
Pour eux, ce légume, avec son pote le topinambour, était synonyme de restriction, d'occupation et les ramenait illico à leur adolescence au début des années 40.
Et bien moi (qui n'ai connu d'autre guerre que celle du Golf), j'ai décidé de conjurer le sort et de donner une seconde chance à ce légume si longtemps décrié.
Alors tout d'abord, à quoi ressemble-t'il ?
A un navet, mais un peu jaune là où le navet est blanc et un peu verdâtre là où le navet est violet.
C'est pas très clair, bon je vous mets un photo.
Bon, ben maintenant qu'on a acheté des rutabagas, il va falloir les cuisiner...
Pas envie de purée ou de soupe alors après un intense farfouillage -sans succès- de mes livres de cuisine, j'enfile mon maillot de bain, je prend ma planche et je file sufer sur le net.
Résultat : Rutabagas en tajine (recette trouvée ici)
Les ingrédients :
- des rutabagas (c'est obligatoire)
- des carottes,
- des oignons,
- des blancs de poulet,
- du citron confit,
- du cumin, du gingembre,de la canelle, du ras el hanout (non il ne faut pas raser la noute - private joke pour ma sister), sel et poivre.
- début de la cuisson après épluchage, coupage, revenage (terme très savant qui signifie faire revenir) et assaisonnage.
A TABLE !
BON APPETIT, BIEN SUR !
01:21 Publié dans La vie de ma cuisine | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rutabagas, tajine