09/12/2011
Souvenirs, souvenirs...
Il y a un an tout juste, nous avons vécu en Ile de France et ailleurs aussi, une mémorable tempête de neige qui a bloqué le pays.
Pour ma part, j'ai mis plus de 5 heures à faire les 40 kms qui séparent mon mamouth adoré de mon home sweet home.
Enfin, tous arrivés à bon port (pour certain, à pied ;o)), nous nous sommes calfeutrés, bien au chaud à la maison.
Le lendemain matin, nous avons fait le point de la situation :
- une épaisse couche de neige, comme nous en avons rarement,
- des routes impraticables et dangereuses,
- une voiture restée sur un parking à 15 km,
- une autre voiture devant la maison mais bloquée par la neige.
Tout ceci cumulé, j'étais contrainte de rester à la maison.
Mais la météo (qui avait sûrement quelque chose à se faire pardonner) avait décidé de nous envoyer un magnifique ciel bleu et un soleil éclatant.
Il ne restait plus qu'à s'emmitoufler, chausser les après-skis et en route pour une magnifique ballade aux alentours.
Suivez le guide...
Et pour quelques photos de plus, il faut aller voir là à droite.
01:24 Publié dans la vie c'est joli | Lien permanent | Commentaires (0)
07/12/2011
Retour vers le futur...
Voilà, c'est tout ce que j'ai retrouvé en rentrant ce soir.
Pour comprendre ce qui s'est passé, il va falloir remonter le temps.
Prêt, on compte jusqu'à trois :
UN, DEUX, TROIS....
Attention à l'atterissage, détachez vos ceintures, nous sommes arrivés, bienvenue dans l'espace temps du dimanche 4 décembre 2011.
Par un après-midi plus que tristounet, je décide de rassembler :
- farine,
- maizena,
- sucre,
- oeufs,
- beurre,
- épices diverses,
- eau de fleur d'oranger
Une fois que tout est là, il convient de tout mélanger, non sans avoir, au préalable, effectué de savants dosages à base de cuillères à soupe, cuillères à café, verre doseur.
Résultat d'un touillage énergique, c'est déjà très appétissant et très bon (je le sais parce que j'ai léché le saladier, le fouet, la cuillère et tout ce qui avait trempé dans la pâte. Et je fais ce que je veux parce que c'est moi qui cuisine, na !)
A la sortie du four, chauds, gonflés, odorants...
En rang par trois, la tête en bas, on se rafraîchit...
après le hammam, ça fait du bien.
Bon résumons nous :
Nous sommes dimanche après-midi, il pleut, il y a du vent et on a 12 beaux muffins à disposition.
Allez, soyons fou !
Un thé, 3 muffins chacun, il en reste donc 6.
Lundi, je rentre du mamouth, hum... j'ai un petit creux, allez juste 1. Il en donc reste 5.
Lundi soir, 1 muffin chacun avec un café. Il en reste donc 3.
Mardi soir, 1 muffin chacun avec un café. Il en reste donc 1.
Mercredi matin en prenant mon café, je regarde le dernier muffin. Ce soir, il faudra le partager...
Mercredi je rentre du mamouth...
mais pourquoi toutes ces miettes éparpillées ?
mais pourquoi toutes ces traces de pattes félines sur la plaque chauffante ?
ARRRRGH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Ce soir il n'y aura rien avec le café, snif, c'est vraiment trop injuste.
PS : malgré les empreintes, je n'ai pas réussi à déterminer lequel des trois matous avait perpetré cet ignoble forfait.
Mélo : il n'est pas voleur mais sur un malentendu, on ne sait jamais.
Ficelle : c'est un ventre à pattes. Il en est capable mais pourquoi seulement aujourd'hui alors que les muffins étaient visibles depuis 3 jours ?
Rita (la chatte du voisin) : quand je suis rentrée, je l'ai vue sortir en cavalant par le soupirail et elle vient régulièrement finir les gamelles des deux autres.
Dernière hypothèse :
Ils s'y sont mis à trois. Melo en chef autoproclamé dirige les opérations. Il charge Ficelle de faire le guet pendant que Rita récupère d'un coup de patte agile le muffin. Puis, en chef respecté, Melo se charge de diviser le muffin en trois parts inégales (la plus grosse étant pour lui, sinon, ça sert à rien d'être le chef !).
C'est sûr et certain, ça c'est passé comme ça.
Bon, ben moi je vais être OBLIGEE de refaire des muffins.
C'est trop dur la vie.
23:21 Publié dans La vie de ma cuisine | Lien permanent | Commentaires (0)
01/12/2011
Petit haïku du jour
Bruine, brouillard, grand vent
Pas très froid mais pas très beau
Le rouge-gorge est là...
20:13 Publié dans la vie des poètes | Lien permanent | Commentaires (3)